Le 28 février, la bouille d'une belle princesse est partie rejoindre les anges aux pays des chons,
Ma petite Poumba, partie si soudainement. Ce matin tu avais mangé un peu de céleri, je croyais que tu te remettais.
Je me suis penchée pour te voir, je croyais que tu dormais. Mais tu étais déjà partie, tu ne m'as pas attendue.
Tu étais si jeune.Tu avais encore pleins de choses à découvrir.
Je t'ai gardée contre moi, mes larmes ont coulé sur ton beau poil, tu es partie rejoindre les anges. Tu veilles sur tout le monde hein ma fille ?
C'est avec le coeur serré que je t'ai lâchée, tu es derrière la maison, enterrée. Dans un tee shirt que je mettais, j'espère que tu n'as pas trop souffert. Puis un dernier bisous et je t'ai mise. Ton petit corps tout raide et lourd, tes machoires serrées, tes petits yeux sans vie et ton coeur froid. Ma petite Poumba, je m'en veux. Les larmes coulent sur mon clavier, je ne t'oublierai jamais.
Je t'aimerai toujours ma fille.
En ta mémoire ma puce, pour te rendre hommage. Ca fait si mal de t'avoir perdue, me dire que je n'aurais plus jamais ton caractère de cochon, des pouickements et tes tours à 100 à l'heure. Ma grincheuse, jamais de bonne humeur.
Bon voyage ma puce, vole bien et sache que je ne t'oublierai jamais. Veille sur tes copines, sur nous, sur tous mes anges.
Décédée avant d'aller chez le véto